Benjamin Fondane au Mémorial de la Shoah.
Octobre 2009-janvier 2010.
Julia David | 06.09.2010Il est un temps de mourir et un temps de ne pas mourir de révolte perpétuelle. Benjamin Fondane, Titanic, 1937 Rien de plus dangereux que l’hommage ; rien de plus glaçant que la mémoire autorisée, assagissant le réel, rendant inoffensifs les assauts les plus rudes, désamorçant les subversions les plus puissantes pour en faire des [...]